Le Lac-Saint-Jean un incontournable pour le fatbike!

<![CDATA[La région du Saguenay-Lac-Saint-Jean se positionne, de plus en plus, depuis les dernières années, afin d’offrir une expérience hivernale active.
La montée en flèche de la popularité du fatbike ne passe pas inaperçu. À un point tel que plusieurs centres de sports, aux quatre coins du lac Saint-Jean, ont décidé d’embarquer dans le mouvement.
Pour David Lecointe, directeur général de La Traversée du Lac à Vélo, il n’y a peut-être que dans la région elle-même, que l’on ne perçoit pas toute l’ampleur du phénomène, mais également la chance que nous avons de pouvoir développer ce sport comme un attrait.
«L’ampleur du phénomène se mesure par la participation de 300 participants à la Traversée du lac à vélo en 2018, mais aussi par la création de plusieurs centres de fatbike.»

Accessibilités
On songe ici au Do-Mi-Ski de Dolbeau-Mistassini, au Dorval situé à Alma, au Mont Lac-Vert d’Hébertville, qui a fait des investissements afin d’améliorer ses pistes et même à la Dam-en-Terre, qui offre des sentiers familiaux.
Une autre raison qui explique la popularité grandissante de ce sport en est l’accessibilité.
«Aujourd’hui, tous les centres offrent la location. Ainsi, pour quelques dollars, les gens peuvent louer un Fat pour une demi-journée. Comme la technique est bien simple, il n’est donc pas nécessaire de se procurer un vélo à plus de 1 200 $ pour vivre l’expérience.»
C’est dans cette optique que David Lecointre publie, sur le web, des capsules qui ont pour objectif de présenter ce sport de manière ludique.
«Le sport s’adresse à M. et Mme Tout-le-monde. Les enfants, dès l’âge de six ans, peuvent s’initier au fatbike. Notre souhait est de faire encore plus d’adeptes.»
Développer
Le côté sympathique de ce sport fait en sorte que la curiosité des gens sera toujours piquée. La région a tout intérêt à poursuivre les efforts amorcés.
«Comparativement à d’autres régions nordiques, le Lac-Saint-Jean reçoit beaucoup de neige. Dès la première bordée, les sentiers sont accessibles, et ce, bien avant les autres sports d’hiver.»
Pour David Lecointre, il faut continuer d’offrir des sentiers de qualités, de la location et de travailler avec l’ensemble de l’industrie touristique, pour développer une expérience hivernale unique.

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