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DÉVOILEMENT. Amélia Marcotte, une jeune élève de l’école primaire Notre-Dame, située à Alma, s’est inspiré du pont Carcajou pour imaginer sa création. Son dessin a séduit les membres du jury et son personnage baptisé « CARCAJOU » est ainsi devenu la mascotte officielle de la 52e Finale des Jeux du Québec d’Alma – Hiver 2017.
Profitant de la semaine de relâche et de la tenue d’une belle activité plein-air au centre-ville d’Alma avec des jeux gonflables, la direction des Jeux a dévoilé au grand plaisir des enfants la mascotte officielle du grand événement sportif à venir.
Suite à un concours de dessin, tenu en décembre dernier, le Comité organisateur dévoilait ainsi sa mascotte, nommée CARCAJOU, qui deviendra un personnage central associé à toutes les activités de promotion et qui représentera la 52e Finale au cours de l’année à venir.
Forte participation
« Nous avons reçu 380 dessins, dont plusieurs identifiaient un CARCAJOU. Cette forte participation nous montre que le concours a généré beaucoup d’intérêt pour l’histoire de la Ville ainsi que pour le pont Carcajou. Avec toute la recherche que les jeunes avaient faite, le choix du dessin gagnant fut donc difficile », reconnait Jean-Denis Toupin, président du comité organisateur et directeur général du Groupe Proco.
Effectivement, parmi les 380 dessins reçus, 29 ont été présélectionnés pour être examinés par le comité de sélection, qui a par la suite choisi le dessin gagnant.
La gagnante, Amélia Marcotte, recevra plusieurs prix, dont des billets pour les cérémonies d’ouverture et de clôture ainsi que des articles à l’effigie de la Finale.
Acmée International Mascotte, a été choisi pour la fabrication, a créé un design et confectionné la mascotte.
« La ville d’Alma a un lien fort avec cet animal courageux, puisque plusieurs membres de l’espèce habitaient près des cascades lorsque la population était plus nombreuse. Nous avons ensuite décidé de nommer la mascotte par le nom de l’animal, CARCAJOU. Ainsi, étant un animal en voie de disparition, le carcajou est difficile à voir et à identifier pour les jeunes. En retenant ce nom, nous permettons à tout un chacun de savoir ce que la mascotte représente », explique pour sa part Sylvie Beaumont, vice-présidente des ressources humaines et des communications.
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